Feuille paroissiale N° 250 du dimanche 8 avril 2012
Feuille paroissiale N° 250 du dimanche 8 avril 2012
« Qui nous roulera la pierre de l’entrée du tombeau ? « (Marc 16.2)
Tombeau ouvert
Quand viennent les beaux jours, nombreux sont ceux qui ont envie de pousser la porte de leur paroisse en quête de mariage, baptême, première communion des enfants, confirmation aussi. Ou même simplement chasser quelques petits démons en faisant bénir de menus objets de piété… on n’est jamais trop prudent !
Que se cache-t-il derrière toutes ces envies ?
Disons-le tout net, non pour blesser mais pour être vrai, la plupart ne savent pas ce qu’ils demandent, où cela conduit et à quoi cela engage. Leurs grands-parents savaient, leurs propres parents plus très bien, et eux plus du tout ! Qu’en sera-t-il de leurs propres enfants …
Il reste que ces demandes, ces moments de rencontres, deviennent souvent source de recherche et de partage ; quelques pas dans l’univers de la foi dont chacun dit avoir une petite idée… quand même !
Et dans tous ces lieux dont on a poussé la porte : préparation au baptême, au mariage, réunion de parents du catéchisme ou de l’aumônerie des collèges, rencontres sur l’Evangile, on s’apprivoise, on partage ce que l’on sait ou croit savoir, ses questions, ses doutes… on dit sa recherche, sa joie d’avoir trouvé… ou de n’y rien comprendre… mais toujours, on s’enrichit, on grandit, ensemble on fait l’Eglise.
Et justement, le Seigneur qui fait battre le cœur de l’Eglise ne comprendrait pas que l’on vienne lui demander toutes ces choses sans avoir envie de le connaître mieux et de le rencontrer.
A Pâques, dans l’Evangile de la résurrection de Jésus, il est dit qu’après avoir roulé la pierre du tombeau pour « voir » et pour comprendre, les premiers témoins n’ont justement rien vu !
Ont-ils donc roulé la pierre pour rien ?
Et nous, aurions-nous poussé la porte pour rien ?
Ce que n’ont pas vu les premiers témoins, d’autres le leur ont dit…
Pour nous aussi, ce que nous ne voyons pas d’autres nous le diront…
Et ce sera notre tour d’en vivre.
Et de le dire !
Bernard Turull
Pour les enfants c’est sûr ! Peut- être même pour les plus grands ! Alors qu’elles soient bonnes et détendues pour tous.
Le site de la Paroisse http://paroisse-rillieux.blogspot.fr/
Une foule de renseignements sur la vie de la paroisse, des groupes et des mouvements…des dates et des horaires que parfois nous cherchons…des propositions de rencontres chez nous ou ailleurs… des comptes-rendus intéressants… des manifestations culturelles… on peut même visiter les églises de Rillieux à distance (ce qui n’empêche pas d’y venir quand même !). L’accès au site est d’une simplicité enfantine. On imagine bien que la feuille paroissiale ne peut rendre compte de tout. Le site devient un outil indispensable d’informations.
Pour mieux chanter à St Pierre Chanel : il est proposé au meneur de chants de changer de côté ! Placé sous l’écran, cela permettra de pouvoir mieux le regarder tout en suivant les chants qui s’affichent. L’ambon d’où se lisent les lectures sera alors placé de l’autre côté. S’il y a une chorale ou un groupe de chants, ils seront invités à se placer aussi côté écran.
Améliorer la qualité des lectures : tout le monde est de bonne volonté…mais cela ne suffit pas toujours ! Et il est vrai que beaucoup font remarquer (avec délicatesse la plupart du temps) que certaines lectures ne sont pas audibles. Sans être puriste, l’exercice est difficile : entrent en ligne de compte la voix du lecteur bien sûr, la distance du micro, le volume de la sono, la vitesse de lecture … bref autant de choses qui s’apprennent et que chaque lecteur doit apprivoiser. Pour avancer nous ferons appel à une équipe de volontaires ; il leur sera proposé de venir s’essayer et d’acquérir quelques rudiments de la lecture en public (cela ne s’improvise pas).
Il est vraiment dommage que ne puissent être proclamés et entendus ces textes de la Parole de Dieu qui nous préparent à l’Eucharistie. Merci à tous ceux et celles qui se porteront volontaires pour entrer dans cet apprentissage. Il suffit d’inscrire son nom sur les panneaux proposés au fond des églises, et nous verrons ensemble comment nous organiser.
Des enfants de chœur…. quelques enfants (très jeunes il est vrai) s’y sont essayés ! On ne peut rien leur reprocher puisque personne ne les a pris en charge vraiment ! Sœur Joséphine se propose de leur apprendre et de les aider à vivre ce service. Il semble raisonnable d’accueillir des enfants volontaires (et pas leurs parents !) à partir de 7 ans, garçon ou fille (on n’est pas dans l’Ain !). .Une fois des candidats mis en route, sera à suivre la question des aubes … on ne pourra échapper à un inventaire dans les différentes églises ! Les enfants ou parents sont invités à se faire connaître à Soeur Joséphine, ou à un prêtre, ou encore en se signalant au secrétariat. Nous ferons de notre mieux !
On ne sait pas vraiment si ceux qui donnent sont heureux…mais ceux qui reçoivent sûrement ! Mais qui sont ceux qui reçoivent ? Cela est évoqué dans l’avalanche de tracts et affiches qui envahissent nos églises et parfois les boites aux lettres quand vient la période de la collecte du Denier de l’Eglise ….les bénéficiaires en sont tous ceux qui sont à plein temps ou en partie au service des communautés chrétiennes. En donnant ce que je peux donner je fais vivre finalement la communauté à laquelle j’appartiens faisant alors partie de ceux qui reçoivent ! Pour ne pas pleurer dans le désert, disons que les prêtres, grâce à cette collecte, ont un salaire très correct. Quant aux laïcs en mission ecclésiale il faudrait le leur demander, sachant que certains ont quitté parfois un emploi beaucoup plus rémunérateur pour se mettre au service de l’Eglise. Le nombre de ceux qui versent au denier de l’Eglise est en baisse dit-on, et si le chiffre global reste stable c’est parce que ceux qui donnent habituellement donnent plus ! Peut-être n’avons-nous jamais fait cette démarche ? Sûrement pas par mauvais esprit ou pingrerie ! Plutôt par manque de motivation, oubli ou que nous ne le pouvons pas (ce qui est autre chose…). Quand il faut changer la paire de basket du gamin on n’est pas forcément heureux en se précipitant chez le commerçant…mais il en a besoin. Et si on ne saute pas de joie en participant à la collecte du denier et bien tant pis, l’important est de savoir que ma Communauté en a besoin.
Bernard Turull
Dimanche de Pâques
Rouler la pierre ... à notre tour !
« Qui nous roulera la pierre de l’entrée du tombeau ? « (Marc 16.2)
Tombeau ouvert
Quand viennent les beaux jours, nombreux sont ceux qui ont envie de pousser la porte de leur paroisse en quête de mariage, baptême, première communion des enfants, confirmation aussi. Ou même simplement chasser quelques petits démons en faisant bénir de menus objets de piété… on n’est jamais trop prudent !
Que se cache-t-il derrière toutes ces envies ?
Disons-le tout net, non pour blesser mais pour être vrai, la plupart ne savent pas ce qu’ils demandent, où cela conduit et à quoi cela engage. Leurs grands-parents savaient, leurs propres parents plus très bien, et eux plus du tout ! Qu’en sera-t-il de leurs propres enfants …
Il reste que ces demandes, ces moments de rencontres, deviennent souvent source de recherche et de partage ; quelques pas dans l’univers de la foi dont chacun dit avoir une petite idée… quand même !
Et dans tous ces lieux dont on a poussé la porte : préparation au baptême, au mariage, réunion de parents du catéchisme ou de l’aumônerie des collèges, rencontres sur l’Evangile, on s’apprivoise, on partage ce que l’on sait ou croit savoir, ses questions, ses doutes… on dit sa recherche, sa joie d’avoir trouvé… ou de n’y rien comprendre… mais toujours, on s’enrichit, on grandit, ensemble on fait l’Eglise.
Et justement, le Seigneur qui fait battre le cœur de l’Eglise ne comprendrait pas que l’on vienne lui demander toutes ces choses sans avoir envie de le connaître mieux et de le rencontrer.
A Pâques, dans l’Evangile de la résurrection de Jésus, il est dit qu’après avoir roulé la pierre du tombeau pour « voir » et pour comprendre, les premiers témoins n’ont justement rien vu !
Ont-ils donc roulé la pierre pour rien ?
Et nous, aurions-nous poussé la porte pour rien ?
Ce que n’ont pas vu les premiers témoins, d’autres le leur ont dit…
Pour nous aussi, ce que nous ne voyons pas d’autres nous le diront…
Et ce sera notre tour d’en vivre.
Et de le dire !
Bernard Turull
Des vacances ...
Pour les enfants c’est sûr ! Peut- être même pour les plus grands ! Alors qu’elles soient bonnes et détendues pour tous.
Peines et joies
A savoir
Le site de la Paroisse http://paroisse-rillieux.blogspot.fr/
Une foule de renseignements sur la vie de la paroisse, des groupes et des mouvements…des dates et des horaires que parfois nous cherchons…des propositions de rencontres chez nous ou ailleurs… des comptes-rendus intéressants… des manifestations culturelles… on peut même visiter les églises de Rillieux à distance (ce qui n’empêche pas d’y venir quand même !). L’accès au site est d’une simplicité enfantine. On imagine bien que la feuille paroissiale ne peut rendre compte de tout. Le site devient un outil indispensable d’informations.
Mercredi 11 avril : célébration eucharistique à l’EHPAD à 14h30
C’est dans l’air
Améliorer nos liturgies …
Pour mieux chanter à St Pierre Chanel : il est proposé au meneur de chants de changer de côté ! Placé sous l’écran, cela permettra de pouvoir mieux le regarder tout en suivant les chants qui s’affichent. L’ambon d’où se lisent les lectures sera alors placé de l’autre côté. S’il y a une chorale ou un groupe de chants, ils seront invités à se placer aussi côté écran.
Améliorer la qualité des lectures : tout le monde est de bonne volonté…mais cela ne suffit pas toujours ! Et il est vrai que beaucoup font remarquer (avec délicatesse la plupart du temps) que certaines lectures ne sont pas audibles. Sans être puriste, l’exercice est difficile : entrent en ligne de compte la voix du lecteur bien sûr, la distance du micro, le volume de la sono, la vitesse de lecture … bref autant de choses qui s’apprennent et que chaque lecteur doit apprivoiser. Pour avancer nous ferons appel à une équipe de volontaires ; il leur sera proposé de venir s’essayer et d’acquérir quelques rudiments de la lecture en public (cela ne s’improvise pas).
Il est vraiment dommage que ne puissent être proclamés et entendus ces textes de la Parole de Dieu qui nous préparent à l’Eucharistie. Merci à tous ceux et celles qui se porteront volontaires pour entrer dans cet apprentissage. Il suffit d’inscrire son nom sur les panneaux proposés au fond des églises, et nous verrons ensemble comment nous organiser.
Des enfants de chœur…. quelques enfants (très jeunes il est vrai) s’y sont essayés ! On ne peut rien leur reprocher puisque personne ne les a pris en charge vraiment ! Sœur Joséphine se propose de leur apprendre et de les aider à vivre ce service. Il semble raisonnable d’accueillir des enfants volontaires (et pas leurs parents !) à partir de 7 ans, garçon ou fille (on n’est pas dans l’Ain !). .Une fois des candidats mis en route, sera à suivre la question des aubes … on ne pourra échapper à un inventaire dans les différentes églises ! Les enfants ou parents sont invités à se faire connaître à Soeur Joséphine, ou à un prêtre, ou encore en se signalant au secrétariat. Nous ferons de notre mieux !
On nous conseille
A ceux qui auraient « zappé » la F.P. 248 !
Heureux ceux qui donnent ... Nous disent les affiches du denier de l’Eglise …On ne sait pas vraiment si ceux qui donnent sont heureux…mais ceux qui reçoivent sûrement ! Mais qui sont ceux qui reçoivent ? Cela est évoqué dans l’avalanche de tracts et affiches qui envahissent nos églises et parfois les boites aux lettres quand vient la période de la collecte du Denier de l’Eglise ….les bénéficiaires en sont tous ceux qui sont à plein temps ou en partie au service des communautés chrétiennes. En donnant ce que je peux donner je fais vivre finalement la communauté à laquelle j’appartiens faisant alors partie de ceux qui reçoivent ! Pour ne pas pleurer dans le désert, disons que les prêtres, grâce à cette collecte, ont un salaire très correct. Quant aux laïcs en mission ecclésiale il faudrait le leur demander, sachant que certains ont quitté parfois un emploi beaucoup plus rémunérateur pour se mettre au service de l’Eglise. Le nombre de ceux qui versent au denier de l’Eglise est en baisse dit-on, et si le chiffre global reste stable c’est parce que ceux qui donnent habituellement donnent plus ! Peut-être n’avons-nous jamais fait cette démarche ? Sûrement pas par mauvais esprit ou pingrerie ! Plutôt par manque de motivation, oubli ou que nous ne le pouvons pas (ce qui est autre chose…). Quand il faut changer la paire de basket du gamin on n’est pas forcément heureux en se précipitant chez le commerçant…mais il en a besoin. Et si on ne saute pas de joie en participant à la collecte du denier et bien tant pis, l’important est de savoir que ma Communauté en a besoin.
Bernard Turull
Commentaires
Enregistrer un commentaire